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  • Photo du rédacteurCaroline Guette-Marsac

L’Ile-Jardin de Kervolan (Saint-Molf, Loire-Atlantique)

Dernière mise à jour : 7 sept. 2020

Visite inspirante de l’Ile Jardin de Kervolan, créée par Stéphanie Barreaud.

Ancienne géologue reconvertie par passion aux métiers du paysage, cheffe d’entreprise paysagiste et à présent permacultrice, elle nous invite à découvrir l’évolution de son jardin en même temps que l’évolution de ces idées, aux plus proches de la nature et de ses cycles.

Car nous avons toujours tant à apprendre…

Très belle visite, enrichissante : www.ilejardin.free.fr (des formations sont également proposées sur site).


Le jardin d’agrément, aux abords de la maison d’habitation, est en prise directe avec le paysage environnant, jusqu’à ne faire qu’un avec lui. Les massifs sont gérés suivant les principes de la permaculture : les herbes « folles » sont les bienvenues car elles participent à l’équilibre des terres (surtout si elles sont comestibles), les plus envahissantes sont coupées et laissées sur place (remplissant ainsi le double rôle de nourriture et paillage dans le massif). Le pied de chaque arbre est accompagné de plantes vivaces et petits arbustes pour respecter la succession des strates végétales observées dans la nature (photographie : C. Guette-Marsac).


Enchantement olfactif avec Tilia henryana en cette fin du mois d’août ! Une belle feuille dentelée, une floraison / fructification étoffée. Très belle re-découverte de ce tilleul en cépée qui nous accueille à l’entrée des jardins (photographie : C. Guette-Marsac).


L’hôtel à insectes marque une des transitions entre le jardin d’agrément et le potager (photographie : C. Guette-Marsac).


Une des nombreuses portes qui ponctuent agréablement les jardins, sous les grands chênes (photographie : C. Guette-Marsac).


Des petits murets enduits viennent accompagner et souligner le rythme des plantations(photographie : C. Guette-Marsac).


Les fleurs comestibles ont une belle place dans les jardins. Stéphanie Barreaud se spécialise d’ailleurs dans leur production et leur commercialisation (photographie : C. Guette-Marsac).


Tout le monde connaît les radis de 18 jours… mais saviez-vous que leurs fruits sont comestibles ?... et qu’il est beaucoup plus « rentable » de les consommer plutôt que de se contenter de la seule racine (trop souvent très piquante) (photographie : C. Guette-Marsac).

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